réveil brutal après une soirée mouvementée, nikki elle ouvre les yeux sur un bordel monstre à la coloc. y a des corps endormis qui s'entassent dans tous les coins et nikki, elle a une migraine monstre. restes de la soirée agitée. elle repousse celui qui s'est endormi à côté d'elle et se lève difficilement pour regarder l'heure sur son portable. putain c'est la merde. elle murmure plus pour elle que pour les autres. elle a qu'une heure pour arriver chez ses parents avec une tête présentable nikki, et vu le boulot, ça risque d'être compliqué. pas l'temps de traîner, elle se glisse sous la douche et quand elle ressort de la salle de bain elle est plus ou moins prête. cernes difficilement dissimulées. robe à fleurs, lunettes de soleil et café en main, elle grimpe dans sa voiture, espérant que sa mine défaite passera inaperçue. nikki, elle se passerait bien de ce brunch dominical et l'seul truc qui lui donne un tant soit peu l'envie d'y aller, c'est la présence de ses frères et de sa sœur. surtout que c'est la merde depuis qu'elle a présentait alan à ses parents. alan, c'est l'type qu'elle fait passer pour son petit-ami, un gosse de riche bien sous tout rapport qui plait particulièrement au paternel. un moyen pour elle qu'il ne se mêle pas trop de sa vie. pourtant, plus le temps avance et plus elle se dit qu'elle est dans la merde la gosse. elle ouvre l'immense portail devant la maison et rentre sa voiture pour la garer au même endroit que d'habitude. nikki, elle est ravie de plus habiter là, parce qu'avoir le paternel sur le dos tous les jours, ça a rien de marrant. elle ouvre l'immense porte en bois de la maison familiale et s'glisse à l'intérieur de la maison. la plus belle est arrivée ! lance-t-elle. elle sait que son père est sûrement à l'étage enfermé dans son bureau et qu'il n'en sortira qu'au moment du repas. le travail avant tout les enfants.

@deran bates @joan bates @rhett bates

hj:

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Le brunch dominical des Bates, un événement à ne jamais rater sous aucun prétexte. Joan aimait les traditions et cette tradition en particulier. Pourtant, depuis quelques semaines elle commençait à s’en agacer. Elle ne comprenait pas comment son paternel pouvait rester aussi impassible face à la situation. Les fédéraux enquêtaient sur lui et par extension sur Joan, mais cela ne semblait pas l’inquiéter. Il continuait à faire comme si de rien était. Gare à Joan si elle osait vouloir lui en parler durant le brunch dominical. Joan allait donc à ce brunch à reculons, mais réellement à reculons. Auparavant, elle aimait ne pas trop traîner pour y aller, mais ce matin si. Elle prenait tout son temps pour se lever, se préparer, elle pris même son temps pour faire un brin de ménage alors qu’elle déteste nettoyer, elle laisse cela à sa femme de ménage. Joan avait même penser à annuler sa visite, prétextant être malade, mais elle savait que son père n’y croirait pas tout comme son frère. Elle allait donc devoir arborer son sourire le plus hypocrite et faire comme si de rien était. La fille à son papa chérit commençait réellement à en avoir assez de devoir ramasser son bordel. Elle n’avait aucune envie d’avoir des ennuis parce que son seul crime est de l’avoir aider. Joan enfila donc sa jolie robe du dimanche, laissa ses cheveux détachés et se maquilla légèrement pour l’occasion. Elle n’avait aucune envie que sa mère lui fasse remarquer qu’elle avait des cernes parce qu’elle travaillait beaucoup trop. Elle en était presque fière, mais elle n’avait pas envie de remarque aujourd’hui, elle faisait donc un effort. La seule chose qui lui réchauffait le cœur était l’idée de croiser Rhett et Nicky, elle en était assez proche et les aimait beaucoup. Certes, elle n’était pas toujours d’accord avec ce qu’ils faisaient, mais elle les laissait vivre leur vie comme elle aurait aimé qu’on lui laisse vivre la sienne. Quant à Deran, elle le voyait beaucoup en ce moment et puisqu’il était impliqué dans le petit secret de leur père elle n’était pas très pressée. Elle avait envie de penser à autre chose et elle ignorait s’il en était capable également. De plus, il avait refusé de l’emmener donc elle boudait pour l’embêter. Ce qui l’amusait c’est qu’elle allait pouvoir le voir se démener pour avoir une once de reconnaissance de leur père. Joan monta donc dans sa voiture et se mit à conduire en direction de la maison familiale. A son arrivée, plu-sieurs voitures étaient déjà présentes. Apparemment, elle n’était pas très en avance, mais cela lui convenait parfaitement. Elle entra dans la demeure familiale et vit ses frères et sœurs en pleine conversation. – On brunche dans le couloir, c’est nouveau. Leur lança Joan pour les taquiner et leur faire remarquer que le cœur de l’action était dans la cuisine.