random questions to get to know you
films préférés - Dark City, Twenty-One, Pokémon (le premier), Blue Velvet, FUR an imaginary portrait of diane arbus, Knowing, The Wave, The Hunt . Séries préférées - TMITHC, Sex and the City, The Good Fight, The Good Wife, Sense8, 13 reasons why, Atypical, Black Mirror, Big Little Lies, Salvation, Twin Peaks, ER, Grey's Anatomy, Victoria, Patrick Melrose. Livre préféré - De l'inconvénient d'être né, d'Emil Cioran.  Groupes/chanteurs préférés - Cloud 9+, Gesaffelstein, Nirvana, Janee, Agnes Obel, Vitalic, Peter Sandberg, Emrod, Nhyx, Beethoven, Blink 182, Neophyte, Psyclon Nine, Moby, Salut c'est cool, Woodkid, Snow Patrol.   Loisirs - marcher durant des heures (alone), écrire, regarder des vidéos (films/séries/streams), être avec mes chiens, écouter les gens, rêver sur l'existence d'un futur improbable et pourtant si beau.  Signe astrologique - signe/cygne. Maison Poudlard - serdaigle. MBTI - INFJ-T, avocat.  Autre - edgy asf.

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chinese identification - not the astrologic sign though
Un animal - le loup.  Une fleur - ronce. Une couleur - black. Un objet - une montre ou une tasse de café, choix compliqué. Une chanson - Incantation by David Hicken. Un lieu - n'importe quel banc devant une étendue d'eau. Un élément - l'eau. Un bruit -  quand on ramasse un objet dans pokémon. Un défaut - passivité. Une qualité - y en a pas.

Rp en : Je/tu/Il • Nombre de ligne : de peu à beaucoup, beaucoup trop parfois, l'inspiration décidera • Langue des rp: Anglais et français.

listing des personnages

[byron oxley]
forty-nine • médecin malgré-lui médecin scolaire et chirurgien consultant à l’hôpital • célibataire/veuf •  warm fireplace • patrick dempsey

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caractère indépendant, réaliste, rabat-joie, charmeur, je-sais-tout, un brin narcissique, têtu, sensible (mais le cache bien), menteur de renom, colérique (problème de contrôle des émotions), arriviste, autoritaire, organisé (il a des tocs), impérieux, protecteur, impulsif, égoïste quand ça l'arrange.
ENFJ-A, Le professeur.
passé inconnu aux yeux de ses proches, le passé de Byron est sujet à l'imaginaire d'autrui, il n'en parle pas et refuse catégoriquement de le faire, jouant sur les nuances du "peut-être que c'était un passé parfait, peut-être pas", les gens finissent par abandonner. Tant mieux. Byron n'a rien eu de facile à vivre dans son passé, surtout pas son enfance et son adolescence et c'est la raison pour laquelle il refuse d'en parler et par dessus tout, recevoir de la pitié inutile à ses yeux. Sa mère était assez instable, enfin, soyons honnête, très instable, dépressive, incapable de voir une once de bonheur à travers les journées, elle plongeait dans l'ombre un peu plus chaque jour. Son père quant à lui avait mieux à faire que de s'occuper d'elle, il préférait se taper la femme du voisin et puis celle du voisin de son voisin, tant qu'à faire. C'était un vrai Don Juan, physiquement Byron lui ressemble énormément, sauf pour le nez, ça c'est de sa mère. Bref, tout ça pour dire que l'environnement de Byron n'était pas sain et pourtant, il a su y trouver sa place, très réservé étant gamin, il ne parlait pas de l'horreur de la maison, il se contentait de rester silencieux, devenant rapidement la petite bête curieuse au sein de l'école. Heureusement, il y avait sa tante (la sœur de sa mère) qui tentait de s'occuper de celle-ci, offrant un peu de répit à Byron qui pouvait jouer avec ses cousins et s'offrit par la même occasion l'illusion d'avoir une vie normale. Il était quand même costaux le petit Byron à l'époque et il l'est resté, surtout à son adolescence ou il était là, le seul à s'occuper de sa mère, son père s'étant barré avec une des voisines C'est là qu'il a grandit, d'un seul coup, faire les courses, payer les impôts, gérer les comptes, prendre des rendez-vous et ça, sans l'aide de personne ou presque, sa tante était toujours plus ou moins présente les week-ends. Du côté de ses études, c'était pas glorieux, mais pas catastrophique non plus, néanmoins ses quelques lacunes notamment en orthographe posaient des problèmes, il a quand même réussi à sortir avec un cheeky diplôme. D'ailleurs, un grand jour quand il a eu ses résultats. Très grand jour. Fier comme pas deux,  il est arrivé en fanfaron chez lui, le torse bombé pour prouver à sa mère qu'il était plus qu'un moins que rien (comme elle avait l'habitude de lui dire lorsqu'elle buvait). Il a passé le pas de la porte pour travers le couloir et entrer dans le salon, vide, la cuisine, vide, l'étage, vide aussi, le garage de même, il ne restait plus que l'atelier de peinture de sa mère, étrangement ouvert. Ressentant un malaise sans nom, Byron a couru dans la pelouse, poussant la porte de l'atelier à la volée pour tomber sur le corps inanimé de sa mère, étendu à côté d'un tableau, une oeuvre comme jamais il n'en avait vu jusqu'à présent. Il ne sait toujours pas aujourd'hui encore si il a été figé par le corps de sa mère ou par le tableau lui-même.  A la suite de ces événements, il est parti vivre chez sa tante entamant une psychothérapie afin d'éviter tous les problèmes qui auraient pu découler de ce passé monstrueux.
Laissant derrière lui un passé compliqué, Byron a su se trouver une place, tout d'abord en abandonnant l'idée de poursuivre des études, il a trouvé un job en tant que vendeur dans une supérette à Boston là où habitait sa tante. Le but étant de se rendre indépendant et de vraiment tirer un trait sur son passé. Tout se passait bien pour lui, vraiment, un revenu certes pas terrible, mais une vie sociale, un appartement même, le jackpot. Mais évidemment, ça ne pouvait pas aller aussi bien. La simplicité et les facilité n'ont jamais été là pour Byron quand il en avait le plus besoin. Sa tante l'a contacté un samedi, après la fermeture, elle sanglotait au téléphone, Byron ne comprenait rien et a décidé de se rendre chez elle après une petite marche de trois kilomètres. Évidemment, elle n'y était pas, alors il a été chez le voisin qui l'a immédiatement conduit à l’hôpital. Bah oui, histoire de rendre les choses dramatiques. Ce fut difficile pour Byron d'y mettre les pieds, pour une raison inconnue d'ailleurs mais, il a fait l'effort, posé des questions et s'est retrouvé aux soins intensifs trouvant sa tante Eve en larmes, assise sur une chaise collé au mur d'une chambre apparemment stérile. Elle s'est effondrée un  peu plus en voyant son neveu qui l'a serré dans ses bras comme jamais il n'a serré personne, toujours dans le brouillard, ne sachant pas du tout ce qu'il se passait. Sa fille, c'est à dire la nièce de Byron était soudainement tombée gravement malade, dans l'urgent besoin d'obtenir une greffe d'un cœur. Elle était malade, tout le monde le savait, mais elle allait mieux. Allait... Deux jours plus tard après cet événement, elle n'était plus. Un mois plus tard, Byron passait des tests après son travail pour évaluer ses capacités afin de reprendre ses études. Sept mois, deux stages, huit examens, trois passages à la banque plus tard, Byron posait son sac à dos dans une chambre universitaire de Boston pour commencer sa première année en médecine. Première année qui fut un échec cuisant, retentissant même. Byron n'avait pas saisit la difficulté des études qu'il a commencé. Il se croyait invincible et s'est mangé la plus grosse baffe du siècle cependant, pas question d'abandonner. Il a recommencé, sous pression avec son prêt bancaire pour se payer ces fameuses études et il a réussit. Première, deuxième, troisième, quatrième etc... Les années ont défilé devant ses yeux, devant des heures de travail, des nuits blanches, des heures à regarder des opérations, des heures passées dans le bar du coin avec les amis à picoler tout en se plaignant des conditions de travail etc... C'était une bonne petite bande de connards qu'ils étaient Byron et ses amis, infects avec les femmes, infects avec tout le monde en fait. Ils se considéraient comme les meilleurs, les plus malins jusqu'à ce qu'un de ce même groupe se foire à l’hôpital, une erreur monumentale qui a coûté la vie d'une jeune femme. La bande s'est dissoute en un rien de temps, l’égoïsme a été plus fort que tout, personne ne voulait être l'ami de celui qui a tué une femme, personne ne voulait être l'ami des amis du gars qui a tué cette même femme... C'est là qu'on se rend compte que même en vieillissant, il reste toujours une par d'immaturité en chacun. Même à trente ans, Byron n'a jamais voulu avouer qu'il était ami avec ce type, des années plus tard donc, toujours pas. C'est à cet âge là tout juste que Byron eu la chance de choisir sa spécialité ; aucune. Incapable de faire un choix, Byron a été éjecté du programme après trois mois de perdition. À la rue, sans revenu, un prêt à rembourser sur les épaules, Byron était complètement perdu mais il n'est pas resté longtemps comme ça, non, ça n'a duré qu'une petite semaine. Une femme, avec laquelle il travaillait à l’hôpital, de trois ans son aîné est arrivée tambourinant à la porte de son appartement pour le réveiller, le sortir de sa torpeur et l'obliger à reprendre une place à l’hôpital  au sein des urgences, ce qu'il fit. Il ne s'est pas arrêté là non plus, il s'est marié à cette même femme Mary, deux ans plus tard. Ils ont filé le parfait amour durant de longues années et à l'aube des quarante ans de Byron, Mary est décédée dans un accident de voiture, perte de contrôle du véhicule et puis terminé, huit ans de mariage, fini, au revoir. Il a été secoué par l'accident et c'est là qu'il a décidé d'abandonner son poste (il abandonne souvent, non?), quitter Boston et s'installer à Bloominburg  pour recommencer une nouvelle vie en tant que médecin scolaire restant tout de même lié à l’hôpital de la ville en tant que simple consultant.
présent Cela fait quelques années que Byron est en ville, logeant dans une maison un peu à l'écart, proche si ce n'est ancrée dans la foret, toujours en quête de calme, de paix et de silence. C'est enfin une vie qu'il apprécie, il se lève le matin vers huit heure et commence le boulot à neuf heure pour rentrer à dix-sept heure, franchement, il ne peut rien demander de mieux que ça. Il a même un groupe d'amis, il n'a pas eu de problèmes depuis qu'il est en ville, pas un seul, comme si il marchait sur un petit nuage. Il a besoin de ça, surtout qu'il se croit maudit depuis sa naissance. Son père le Don Juan, sa mère la folle etc... D'ailleurs en parlant de son père, il a découvert assez récemment qu'il avait des frères et sœurs alors qu'il a toujours été le fils unique, son père n'a pas stoppé ses aventures et ça, sans se protéger mais il est mort, assez récemment d'ailleurs, comme quoi, il a su avoir une magnifique et longue vie pleine de sexe et tromperies tandis que son fils ramait comme un idiot, seul. Heureusement, Byron a désormais trouvé un équilibre dont il ne désire pas se séparer de si-tôt.